La scène a découvert ou confirmé des talents, mais elle a aussi déçu…
Les surprises scéniques de l’année 2011? Le tout en un repas festif, gourmand, bien arrosé de pop et de rock.
Janvier : En amuse-bouche Les Roken is Dodelijk nous offrent de douces promesses pop sucrées. Finesse et élégance au rendez-vous.
Février : Apéritif festif avec les psychédéliques et envoûtants Black Angels, les profonds et indépendants The National, et les sombres White Lies œuvrant dans la post-pop.
Mars : Première entrée, une soupe amère avec Beady Eye. Après un petit écœurement, on continue dans la déception avec l’annulation d’un concert des Black Keys pour cause de fatigue.
Avril : Sursaut de gourmandise avec l’étonnant avant-gardisme musical d’Ozark Henry, très goûtu !
Mai : La seconde entrée se veut énergique. Dans l’ombre d’Archive, le second groupe du chanteur Birdpen se veut rock intime tripant.
Eté 2011 : Le trou normand s’impose et on s’allège dans les festivals. Coup de cœur particulier au Festival Cactus en Belgique. On danse et on chante sur les airs des Cold War Kids, de la diva brownesque Janelle Monaé, et sur les guitares lourdes des Triggerfinger.
Octobre : Le plat principal est savoureux. dEUS, sur scène, c’est une explosion des sens, d’énergie, les papilles salivent encore.
Novembre : Le dessert est rafraîchissant. David Bartholomé, en solo, (leader Sharko) se croque aimablement.
Décembre : Les délices sonores fondent en nous, et le repas se clôt sur un magnifique rock noir, serré du groupe The Horrors.
By Vanessa Mans