Né à Paris, élevé à Londres, Mr John Lewis écrit et compose sa première chanson à l’âge de 11 ans. Lors de ses années collèges, sa chambre se transforme rapidement en studio et dès l’âge de 17 ans, il signe son premier contrat avec un producteur.
Compositeur sur le film Et si tu disparaissais (2008) de Florian Desmoulins, Mr John Lewis part ensuite enregistrer à New-York son premier album intitulé Unexpected. Ses chansons, nourries d’inspirations très soul, abordent des sujets très variés mais universels tels que l’infidélité avec Who The Hell Is The Man, le suicide Whatever I Try, mais aussi simplement le bonheur Beautiful Day.
Sur cet opus, Mr John Lewis a travaillé avec l’ingénieur/réalisateur Henry Hirsch, connu en autres pour son travail avec Vanessa Paradis et Lenny Kravitz et cela se ressent sans aucun doute sur les chansons A Prayer Should Be Heard et Beautiful Day.
Mais patience, en attendant la sortie de Unexpected, prévue si tout se passe bien pour fin 2010, vous pouvez vous régaler avec son premier EP People.
Coté live, Mr John Lewis sera à Avoriaz à partir du 15 mars 2010 pour six dates de concert sur la scène du Shooters mais aussi à Rueil-Malmaison pour la conclusion de sa résidence à L’Avant-Scène le 10 avril.
L’EP People, sorti sur le label Reiss Music, est disponible sur le site officiel de Mr John Lewis ainsi que sur son MySpace.
Tracklist de People :
- « People »
- « A Prayer Should Be Heard »
- « Beautiful Day »
- « Hometown »
Tu as raison et c’est ce que j’aime d’ailleurs. Toujours avoir à découvrir, le mystère qui règne encore sur sa personne et savoir qu’on ne finira jamais de le connaître finalement.
Après il y a ce qu’il ne révèle pas directement et qu’il transmet implicitement alors dans ses chansons.
Il y a tant de question que j’aimerai lui poser, des chansons dont on ne sait pas quelle est la source et d‘où elles proviennent ; Et c’est à ce moment là que joue notre imagination oui…Que la chanson forme une histoire en nous, on se l’approprie à notre manière… Quelle beauté la Musique. Mais bon, pour terminer, je dirai que Dylan c’est tout simplement une infinie suite de trois petits points « … », un point c’est tout.